Pendant les vacances de Noël, nous avons passé une formidable journée chez des gens qui nous sont très proches. Une journée comme je les aime : simple, chaleureuse, amicale, spontanée, gentille...
Le soir, au moment de se dire au-revoir, le petit garçon âgé de 4 ans me dit : "attends". Il s'en va dans sa chambre, et revient avec un doudou (pas son doudou, mais un doudou quand même). Il me le tend : "tiens".
Je l'ai remercié comme il se doit, puis, délicatement, lui ai demandé s'il ne lui manquerait pas. Mais il était catégorique. Je l'ai donc posé dans mon sac (la tête à l'extérieur pour qu'il puisse respirer), et je suis partie. Le petit garçon souriait, heureux de m'avoir fait si plaisir.
C'est alors que j'ai vu que son grand frère pleurait : "Non, je ne joue jamais avec ce doudou, mais ça me rend triste quand des choses partent de la maison..." Je n'ai pas su le consoler...
Trop mignon ce petit garçon ! C'est un magnifique cadeau qu'il t'a fait là !
RépondreSupprimerJe pense que je n'aurais pas su non plus consoler le grand frère... espérons que le temps fera son œuvre.
Tu es gâtée. Parce que c'est quand même un chouette cadeau. Offrir un doudou à quelqu'un, c'est une grande marque d'affection, je crois que ce petit garçon t'aime beaucoup !
RépondreSupprimerQuel adorable cadeau..... Nul doute que ce petit garçon t'apprécie énormément !
RépondreSupprimerEt pour les larmes, j'ai consolé le week-end dernier ma fille qui pleurait à chaude larme parce qu'on triait les vêtements trop petits et que beaucoup partaient dans un sac "à donner" et que bien que ne pouvant plus les porter "elle les aimait beaucoup" (bizarrement, pas une larme pour les chaussettes percées partant à la poubelle lors du même tri ! )
Je n'aurais pas su le consoler non plus. Sauf à lui dire que le doudou viendrait avec moi à la prochaine visite...
RépondreSupprimertu sais ce n'est pas si fréquent qu'un enfant offre un doudou à un adulte, c'est une marque de confiance et d'affection qui est très belle. Et je comprends le grand frère aussi...c'est jolie comme histoire.
RépondreSupprimerOuahou, quelle confiance tu as inspirée à ce petit garçon ! Dans le mille, ma chère Alphonsine !
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