Une
société fondée sur le travail ne rêve que de repos.
C’est le commencement. Chaque fois c’est
pareil.
Il vient, apparaît avec vélocité,
Puis reste là, céans, ne veut plus nous
quitter.
Il attend quelques mois, les gens savent
qu’il veille.
Puis à son habitude il revient nous hanter.
Mais quand enfin il part, c’est sa
spécialité,
Il disparaît et fond comme neige au soleil
Le repos revenu est une ode à la joie,
Tous ce que l’on était revient comme autrefois.
Nous profitons enfin, c’est une délivrance.
C’est un plaisir certain d’avoir du temps
pour soi.
Plus besoin d’y penser et à la prochaine
fois !
Le temps des examens ? Fini c’est les
vacances !
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Pour l'agenda ironique de juin, par Anatole qui participe pour la première fois avec un sonnet en alexandrins !
Anatole voit les examens comme un objet (lourd et encombrant) qui heureusement n'est que de passage ;-)
RépondreSupprimerBravo Anatole, un sonnet, rien que cela! Et quel sonnet! Je suis d'accord, les examens: un objet lourd qui casse les orteils en tombant. Mais après, quel délice, quelle satisfaction du reposé mérité, du travail accompli!
RépondreSupprimerUn sonnet pour les examens; je me le répèterai lorsque je passerai un examen plus redoutable que l'intellectuel; j'ai nommé le médical.
RépondreSupprimerCes vers sont si beaux, qu'ils réconfortent de tous les maux.
Merci de ta participation réussie.
Un sonnet pour les examens! Après il y a le sonnet qui célèbre les vacances que je souhaite belles et pleines de surprises. Bises alpines
RépondreSupprimerWaouh bravo Anatole, c'est vrai que ça peut être une hantise puis une délivrance cette période juin-juillet.
RépondreSupprimerAnatole, mais qui s'est celui-là ? Ca se passera pas comme ça, et puis sa bagnole, les gars, elle est drôlement bizarre, les gars ! C'est quoi ce qui est indiqué "en partenariat avec une marque ou une société ? Joli sonnet ceci dit mais quand même je m'interroge...Et puis fallait y penser au poème sur le travail...
RépondreSupprimerPar deux fois une marque m'a demandé d'écrire un article, mais sans préciser qu'il s'agissait d'un partenariat. J'estime le procédé inélégant et peu honnête vis-à-vis de mes lecteurs. Dans ces articles je transforme les pseudonymes de mes enfants : ils passent du prénom en "A" au prénom en "E".
RépondreSupprimerAnatole est mon 4ème enfant, et 2ème garçon... Il n'a jamais travaillé autant que les dernières semaines, parce qu'en Suisse la Maturité (baccalauréat) se déroule avec de nombreuses évaluations écrites, toutes doublées d'un oral. Il en voit enfin le bout, dernière épreuve mercredi.
Joliment dit ! Curieux comme le travail ne va pas sans le repos, alors que le repos se passe très bien du travail. Est-ce la preuve de la supériorité du repos ?
RépondreSupprimer:)
Anatole, j'espère qu'on te relira au hasard des prochains agendas !