J'aime les jeux de société, je suis une grande joueuse. Je pense même être bonne perdante, mais à une seule condition : celle d'avoir une chance de gagner. Lorsque je perds partie sur partie, j'abandonne définitivement le jeu. C'est ainsi que je ne joue plus au baby-foot. Je n'ai même pas le temps de tenir les poignées que déjà la balle tombe dans le but.
Aujourd'hui, pourtant, mes garçons m'ont implorée jusqu'à ce que je joue. Deux contre un, ce serait inégal si je ne participais pas. Mais parce que ma présence n'est absolument pas efficace, l'équilibre se fait de lui-même. Anatole et Augustin ont donc décidé de jouer alternativement avec moi. A part une balle que j'ai envoyée par hasard dans le but parce que le joueur adverse l'avait envoyée sur mon bonhomme, juste bien placé pour le faire rebondir dans le but, j'étais désespérante d'incapacité à devenir un tant soit peu efficace.
Jusqu'à ce qu'une illumination vienne éclairer mon intelligence : si mes yeux suivaient la balle plutôt que le mouvement des joueurs adverses, je serais plus à même à parer et à renvoyer le ballon.
Nous avons gagné.
Il faudra que j'adopte ta méthode, j'adore jouer au baby-foot mais, comme toi, je n'ai pas le temps de tenir les poignées que déjà la balle tombe dans le but, au lieu de me concentrer, ma maladresse provoque chez moi le fou-rire, ce qui n'arrange pas les choses...
RépondreSupprimerJ’ai exactement le même
RépondreSupprimerProblème au baby que toi ! Alors j’ai abandonné , sauf si je sens qu’ils ont vraiment besoin de se défouler en se moquant de moi :-(
bravo maman :-)
RépondreSupprimerAlors là, bravo !
RépondreSupprimerJ'en serais bien incapable, même en me concentrant la balle : le babyfoot, pour moi c'est comme le piano : entre ce que mon cerveau ordonne et ce que les mains exécutent, il y a comme un gouffre...
C'est une évidence, mon cher Watson !
RépondreSupprimerTu es mon maître !
RépondreSupprimerJe n’ai plus qu’une hâte : mettre une bonne pâtée à Fouiny !